[Lieu] La pension Hirillomë

[La Conteuse]

J'ai tout cssssse qu'il faut, je pourrais aller dans le jardin ? Le majordome revient vers la famille pour demander s'ils ont besoin d'autre chose.

[Mérinid]

"Jussste une quessstion, est-ssse qu'il peut avoir acsssès au jardin en notre absssenssse où ressster tranquille ?"

[La Conteuse]

C'est à vous de voir. S'il est capable de respecter vos limites. Répond-il en regardant le jeune naga qui lui regarde ses pères les yeux brillants d'espoir.

[Mérinid]

Il porte un regard sur son enfant. "Je sssuis sssur qu'il sssaura ssse tenir." Il n'ajoute pas de menace, c'est superflus.

[La Conteuse]

Si'Chal ne montre pas de crainte, il ne répond pas non plus qu'il a compris, il se contente d'afficher des couleurs de bonheur et de confiance.

Un bruit se fait dehors, attirant le majordome à la porte. Les autres résidents s'approchent de la fenêtre pour regarder ce qui se passe. Le silence revenant ils se ré-installent. Dans le même temps le majordome revient auprès de Mérinid et chuchote.

"C'est votre apprentie, il y a un soucis, je l'ai faite monter dans sa chambre."

[Mérinid]

"Humpf." Il se lève, rajuste son manteau puis entreprend de rejoindre la chambre de l'apprentie.

[La Conteuse]

Elle est affalée sur son lit blanche comme un cachet d’aspirine, elle respire superficiellement.

[Mérinid]

Il claque de la langue d'agacement et, rassemblant son manteau autour de lui, vient s'asseoir sur le bord du lit. Il touche le bras de l'apprentie et lui transmet un petit filet de magie pour l'aider à la respiration, l'oxygénation et lui restaurer quelques forces. Au moins pour qu'elle puisse s'expliquer. Et qu'elle ne décède pas là comme ça.

Petit sort de soin à 15 pms

24 aux dés

[La Conteuse]

Le simple afflux de magie lui rend couleurs et respiration plus profonde, à présent elle dort. Mérinid note qu’elle n’est pas malade il s’agit plutôt d’un épuisement.

[Mérinid]

"Ah, sssses jeunes. J'aurai dû commenssser par lui donner des bandits à gérer. Là on dirait qu'elle est partie pour sssoulager toute la misère de la ville. Sssa ne va pas du tout." Il prend le temps d'écrire un petit mot qu'il laisse auprès de l'apprentie, l'informant que leur départ est pour bientot. Elle a encore une journée pour faire ce qu'elle veut.