[RP] La Fortune des Guerriers et Mercenaires

[La Conteuse]

L'escalier s'enroule autour d'un pilier, et se poursuit au delà du premier étage, la salle qu'il traverse contient un pilier, une grande table et deux bancs un garde manger vide et un vaisselier en partie détérioré. Le bruit est un peu plus audible, il vient de l'étage au dessus.

[Madrax]

Peu d'intérêt dans cette nouvelle salle, à priori. Il doute qu'une recherche assidue mène à grand chose non plus. Il continue donc vers l'étage suivant, si il n'y a aucune autre issue à ce premier étage.
Bon vu qu'en théorie il est dans une tour, ça ne peut que monter ou descendre. Normalement.

[La Conteuse]

Arrivé en vue de l'étage suivant il constate une brume épaisse, comme dehors. Les bruits viennent de cet étage et il s'agit de quelqu'un qui se cogne contre des meubles ou des murs, quelqu'un qui cherche son chemin dans la brume. En écoutant bien il peut évaluer que la personne est un peu au dessus de lui, sans doute dans une salle éloignée de celle où conduit l'escalier.

[Madrax]

Pas le choix, la brume semble être sa seule option. Ralentissant, il termine son ascension puis commence l'exploration de ce niveau à tâtons. Une bonne option serait d'atteindre un mur, mettons sur sa droite. A partir de là, il n'aura qu'à suivre le mur. Cela lui permettra au moins d'établir un plan de ce niveau.
Concernant l'autre individu, il est encore mitigé quant à faire savoir sa présence. Peut-être plus loin, si la visibilité s'améliore.

[La Conteuse]

Quand il parvient à la dernière marche sa main à droite touche un cadre, puis le vide, en mettant sa main toujours sur la droite il peut déduire que ce qu'il sent était une fenêtre sans vitres et ouverte sur l'extérieur, de l'autre côté de la fenêtre c'est le vide et dehors des bruits de succion et de rampement lui parviennent. A cet étage, l'odeur de canidé est plus importante, et le bruit de fouille vient de devant et à gauche, en suivant le mur, au delà de la fenêtre il parvient à un angle droit le mur se poursuit vers la gauche, il heurte un tabouret devant un mur, un second tabouret, puis un troisième sont alignés le long de ce mur à partir de l'angle qu'il vient de passer. La main toujours sur le mur à sa droite, il rencontre un nouvel espace, celui-ci est plus grand que la fenêtre, une porte ouverte, elle donne sur l'extérieur mais il y a un plancher au sol.

[Madrax]

Bon, pour la discrétion c'est, il en est certain, fichu. La faute à ces tabourets. Quelle idée de mettre des tabourets dans le chemin des aveugles. Arrivé à la porte, il hésite. Décidant d'établir contact, il demande à voix haute :

"Vous pensssez qu'il y a moyen de chassser la brume sssi on ferme toutes les ouvertures ?"

[La Conteuse]

Le bruit cesse et la réponse arrive.

"C'est possible. T'as un accent, tu viens d'où ? "

[Madrax]

"Raukarth. Je sssuppose que tu es un gurauk toi ?" Il ferme la porte donnant sur l'extérieur. C'est toujours ça. Et comme ça, il saura qu'il n'aura pas encore exploré cette pièce. Il reprend au delà à tâtons.

[La Conteuse]

La voix venait de la terrasse extérieure. Elle se rapproche dans sa direction.

Gurauk exact, qu'est-ce qui ta mis sur la voie ? Ah... Tu es un siffleur ? J'arrive. Une fois qu'il sera dans la même pièce il aidera à fermer les issues, lui aussi se dirige en posant sa main droite sur le mur. Et après la porte il y a une chaise et une table qui sont sur le passage. Puis un angle et une fenêtre au milieu du mur suivant. Une fois les issues fermées la brume reflue lentement. Et Madrax peut voir un gurauk gris auquel il manque un bout de la pointe de l'oreille droite. Salut, moi c'est Crikar le solitaire.

[Madrax]

Il se présente aussi, "Madrax". Comme il n'a pas de surnom ou de terme pour le décrire d'une façon ou d'une autre, il se contente juste de son nom. Une fois la clarté de la pièce rétablie, il reprend : "Puis-je te demander quelles raisons t'ont amené à ssset endroit Crikar le solitaire ?" Il en profite pour jeter un petit coup d'oeil au mobilier.