[RP] Des routes et déroutes

[Mérinid]

"Faites faites, le plus pratique sssi vous voulez vous faire une idée par vous-même, c'est d'aller là-bas."

Il se leva et emboîta le pas au barde qui devait le conduire au village étrange.

[La Conteuse]

Devisant civilement sur la route ils parvinrent en fin de journée en vue des sept demeure du village, et comme promis le barde que nous appellerons Thux, montra à Mérinid la maison.

[Mérinid]

"Ssselle-sssi...J'en prends bonne note. Sssi à l'avenir je repasssais par ici, je sssaurais où aller sssatisfaire ma curiosité. Maintenant, allons à Elwen."

Déjà il tournait le dos à la maison pour revenir vers la route et se remettre en marche vers la cité.

[La Conteuse]

Le barde lui non plus n'avait aucune intention d'y voir de plus près. En approchant d'Elwen la route devint plus fréquentée et ils finirent leur voyage entourés de marchants.

Devant l'Antre, Thux le salua.

[Mérinid]

Pour sa part, il poursuivit sa route jusqu'à la maison de son maître. Il traversa les files d'aventuriers en marmonnant vaguement comme excuse :

"Assissstant de Philomon, pousssez vous"

[La Conteuse]

Les aventuriers le laissent passer le regardant de travers ou le saluant vaguement avec espoir.

Tu en as mis du temps à revenir il y a du travail ! Prend un groupe je prends l'autre ! Ils sont plus nombreux en ce moment, encore un lieu maudit qui a été découvert et qu'ils explorent au péril de leur vie !

C'était comment Elrazad ?

[Mérinid]

"Paisible."

Il jeta un nouveau coup d'oeil dans la salle d'attente pour regarder le groupe suivant sur la liste et l'appela.

"Vous là, sss'est votre tour. Posez le corps sssur la table jussste là."

Il indiqua du doigt la place en question. Ce n'était pas ce qui manquait dans cette maison, entre la table qu'utilisait son maître, celles dans la pièce d'à coté où il dépeçait...

Il commença par dévêtir le corps pour observer les blessures à l'origine de la mort.

[La Conteuse]

Les autres aventuriers le regardaient faire étonnés. Philomon avait disparu dans sa propre salle avec un autre groupe.
L'elfe était perforé à l'épaule, à la hanche au coeur et à la jambe droite, les compagnons avaient enlevé les flèches.

[Mérinid]

Lui-même, habitué à voir des corps nus, ne ressentait plus aucune gène par rapport à ceci. Il ne comprenait d'ailleurs plus cette notion de pudeur.
Il passa ses mains sur les perforations en appelant la magie pour ressouder les tissus déchirés.

[dice]0[/dice]I

[La Conteuse]

Il perçut alors le poison, dans les plaies.