Jour de liesse

[Daemon]

"Oui bien sur, vous pouvez y aller."

Il continue de manger ses choux, débarrassé de ses pensées parasites. Il se demanda brièvement ce que lui réservait la suite de la journée, il questionna Périn à ce propos.

[La Conteuse]

- Vous pourrez assister depuis votre balcon princier à une joute puis à des acrobaties de deux troupes qui sont venues spécialement pour vous d'Elrazad. Il semble que votre personne a fait fort impression sur quelques artistes.

[Daemon]

"Intéressant. Pas de morts pour la joute j'espère, ce serait triste. Pour les acrobates, ma foi c'est une bonne nouvelle. Fais passer le mot que tout le monde surveille bien son or en revanche. Ces gens là sont des filous, mais des filous doués. Il y aura de la musique ? Des bardes peut-être ?"

[La Conteuse]

- " De la musique, ça oui, des bardes, je ne saurais dire. Ces gens là sont difficiles à trouver."

[Daemon]

Il termina son choux et se lécha les doigts, glissant un nouveau regard vers ses princes en souriant. Puis il se leva.

"Et si on sortait prendre un peu l'air, les festivités ne se déroulent pas qu'ici. On pourra rejoindre le palais en même temps."

[La Conteuse]

Les princes tentèrent de retenir un petit rire qui fit se retourner les invités en vain. C'est en rigolant toujours qu'ils s'accôtèrent à Daemon pour sortir, Malar emporta au passage une dernière assiette de choux.
Raukarth avait des Princes curieux mais fort aimables diraient les bardes que personne ne soupçonnaient être dans la ville. On découvrirait également une recrudescence de vols.
Mais en attendant les constat d'après fête les damoiseaux et demoiselles dansaient déjà dans la rue.

[Daemon]

Il observa les danseurs en souriant puis se tourna vers ses mignons.

"Voudriez vous m'accorder cette danse mes chers ?"

[La Conteuse]

Les deux lui tendirent les mains dans une ronde endiablée, Malar avait confié les choux à Périn qui les avait suivis et qui lui, ne s'amusait pas.

[Daemon]

Après un moment à tourner avec ses princes, il focalise son attention sur son page.

"Eh bien Périn, tu sembles toujours bien sombre. Tu ne veux pas nous rejoindre ? Qu'est ce qui ce te tracasses à ce point ? Comme tout à l'heure, Merkes et sa soeur, et le maître sorcier et tout ?"

[La Conteuse]

- Désolé d'être lugubre mes Princes, il sourit, je veille à votre sécurité.