[RP] Le labyrinthe des ombres

[La Conteuse]

La créature a bondis vers lui griffes et crocs en avant. Une grande gueule carrée des pattes robustes et de petits yeux le tout recouvert d’écailles avec une queue fine et longue comme un fouet. Une sorte de petit dragon terrestre avec des crocs et rapide.

[hrp sous dex pour esquiver il a une dex de 75]

[Mérinid]

Aucune surprise ici. Il tente de se déporter sur le coté pour éviter le coup. Mais la majeure partie de ses efforts vont dans la réalisation d'un sort pour modifier la situation. Il n'a pas vraiment envie de faire du mal à la créature, et il ne peut pas conjurer des protections sans arrêt. A la place, il tente un sort pour charmer le dragonnet, l'apaiser, modifier ses émotions à l'égard du sorcier.

1d100 => 37 => 37

esquive

1d100 => 5 => 5

sort de charme a 60pms

[La Conteuse]

La créature s’approche en dardant sa langue entre ses crocs, il a rentré ses griffes, l’autre paire d’yeux a disparu.

[Mérinid]

Le sorcier ne fait aucun geste brusque, il observe le petit dragon. Lui aussi darde sa langue et doucement, il tend une main, pour voir si le reptile est enclin à être touché.

[La Conteuse]

Le reptile se comporte comme un chien, il présente sa tête après avoir renifle la main offerte.

[Mérinid]

En souriant, il caresse la tête du dragon puis le gratouille sous la gueule. Il est confiant dans la durée de son sort. Il a, pour ainsi dire, mis la dose. Il prend le temps de s'occuper de la créature, un bon quart d'heure au moins, avant de lui proposer à voix haute de le suivre sur le chemin. Il accompagne sa proposition de quelques pas dans la brume, pas suffisamment pour perdre le reptile de vue, mais assez pour lui indiquer ce qu'il compte faire.

[La Conteuse]

La créature le suit. La route est totalement engloutie par la nuit à mesure que Mérinid avance jusqu’à ce qu’il ne voit plus rien, la créature contre sa jambe se met à vibrer en silence.

[Mérinid]

La nuit tombée, il décrète une pause. Il s'arrête de marcher et s'assoit à même le sol. Tranquillement, il vérifie l'état du reptile. Il ne sait pas si ses vibrations sont une bonne ou une mauvaise chose. Peut-être a-t-il froid, et il sait pertinemment l'effet indésirable du froid sur ceux qui n'ont pas le sang chaud.
Ou bien il n'aime pas la nuit et il aimerait avoir une tanière. Difficile à dire.

Alors il pose sa main sur le flanc du dragon et le caresse. Il profite de ce moment pour étudier à l'aveugle la morphologie du reptile, en dehors du peu qu'il a put voir. La texture des écailles, la souplesse de la peau, la musculature. Beaucoup de petits détails dans ce genre. Il darde également la langue, au cas où il émettrait des signaux à capter. Agressivité, peur, anxiété...

[La Conteuse]

La créature vibre plus fort elle est très nerveuse, elle est anxieuse, quand Mérinid s’assied elle le pousse pour l’inciter à se relever. Elle ressemble en tout point à un chien, à part sa peau sa langue sa queue et ses vibrations.

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[Mérinid]

C'est donc presque de la peur. Très bien, ça en dit long. Il se relève prestement. Frottant ses mains vigoureusement, il essaie de conjurer une petite flamme, qui leur permette de voir quelque chose. Pour autant que la brume le permette. Au moins, l'avantage de la brume, c'est qu'il n'a pas besoin d'une grande flamme pour y voir aussi bien qu'en plein jour.
Son sort accompli avec succès, il se remettra doucement en marche, si le reptile est d'accord avec ça.

1d100 => 90 => 90

flamme dans la paume, 10 pms pour y voir un peu