[RP Evénement] Giamonios

[La Conteuse]

Il n'y a aucune trace de sortilège sur le lutin, sa magna et la magna du lieu ne sont pas altérées.

Ooooh ! ça recommence ! Hiiii ! Je dois y aller à nouveau !

Et il se met à uriner, loin fort heureusement de mérinid mais en restant toujours sur son épaule.

[Mérinid]

"Eh bien...Pour ssse que j'en vois, sssa ne vient pas d'un sssort. A ssse niveau là, vous êtes tout à fait normal ausssi. Est-ssse que vous avez bu ou mangé quelque chose de...mh...D'inhabituel ? Par rapport à vos repas ordinaires je veux dire.
Vous êtes entré en contact avec quelqu'un de peu commun ?
Vous êtes tombé malade ?
Ou bien...Ahem...Vous avez eût des rapports charnels avec quelqu'un très résssemment ?"

Voila un peu toutes ses idées du moment. Si rien n'est concluant, il ne saurait pas quoi faire d'autre. Peut-être tenter de bidouiller un sort à l'aveuglette, sans doute. Ca a tendance à bien marcher.

[La Conteuse]

Il plop en bas regarde Mérinid bien en face.

Vous me prenez pour qui dites donc vous ?! Je ne couche pas avec n'importe qui. La seule chose que j'ai fait de différente c'est manger des asperges au pied de la porte du sidh.

Le Bel hoche de la tête et dit quelque chose aux dryades dans une langue inconnue de Mérinid, elles lui répondent.

[Mérinid]

"Sssans parler de "n'importe qui", il faut le prendre comme un compliment voyons. Sss'est toujours bien de sssavoir qu'on a du sucsssès.

Enfin bon, des asssperges au pied de la porte du Sssidh donc." Il se tait pour écouter ce que baragouinent le Bel et les femmes-arbres. Mais comme il n'y comprend rien, il reprend quand ils ont fini : "Etant donné que sssur un plan magique, vous allez bien, sss'est sssur un plan physiologique que sssa ne va plus. Un genre d'intocsssicasssions alimentaires peut-être ?"
Il tourne la tête vers le Bel, comme en attente d'un confirmation. Ou d'un infirmation, tant que ça le fait progresser...

[La Conteuse]

Le lutin a écouté les dryades et le Bel. Puis Mérinid

"Il est arrivé à la même conclusion, les filles disent qu'il peut me soigner mais il faut retrouver son anneau sa dague et son kylix."
Il gigote sur place. "ça recommence !!!! " Et il se remet à inonder tout autour de lui les lieux sentent très mauvais maintenant.

[Mérinid]

"Mh...J'ai deux quessstions." Il demande au Bel : "La première...Tu as une vague idée vers où chercher ? Sssa nous aiderait. La ssseconde...Eh bien...C'est quoi un kylix ?"

Il prend un peu de distance avec le lutin. Simple précaution. D'autant qu'il lui faisait face à l'instant.

[La Conteuse]

" Un kyllix est une sorte de bol plat. Et puisque je ne suis pas venu avec c'est qu'ils sont dans ma source. Laquelle soigne de tous les maux." Les dryades le grattouillent derrière les cornes et se frottent les joues sur ses oreilles, il n'en semble pas dérangé pour autant et poursuit.
" Remontons la rivière, venez avec nous Pélias."
" Je peux m'y transporter, je vous y retrouve."
Et avant que le Bel ai pu dire quelque chose il a disparu.
"Il faut nous dépêcher, au revoir les filles, votre nature devrait aller mieux maintenant qu'il ne s'y soulage plus. Si j'ai le temps je reviendrais pour l'y aider."
Il retourne dans l'eau et les dryades disent quelque chose avant de retourner à leurs arbres.

[Mérinid]

Le problème semblant résolu, il emboite la reptation au Bel, rejoignant l'eau pour y patauger, en remontant vers la source. Il ne dit pas grand chose, profitant de l'occasion pour observer un peu l'intérieur de l'île. Il n'a jamais dépassé Blaine après tout.

[La Conteuse]

La nature sauvage de l'île se révèle à lui, des bois de pommiers à perte de vue, aucun autre arbre, les arbrisseaux et les herbes foisonnent également, remonter la rivière est surement le meilleur moyen de se déplacer car il ne semble pas y avoir de chemin.
Le Bel avance rapidement avec une fluidité agréable à regarder, son corps encore juvénile ne fait aucun effort pourtant il est luisant comme enduit d'une huile.son odeur a changé, il sent le bois vert.

[Mérinid]

Rapidement, il revient au Bel et constate les changements s'opérant. "On doit approcher, tu changes encore." Il accélère l'allure tant bien que mal pour essayer de se maintenir à sa hauteur, pas parce qu'il est pressé mais juste pour observer et sentir.
Une créature vraiment étrange, oui.

Il tend le bras mais s'arrête, pour demander la permission de toucher l'espèce de couche luisante. Entre autre chose.