[RP] Des routes et déroutes

[Mérinid]

Prudemment, il attendit leur retour dans la salle au braséro. Il ne voulait pas s'aventurer dans le couloir et l'escalier, alors qu'il y avait tous ces pièges. Et sans même savoir s'il serait capable de quelque chose. Avec les deux elfes au moins, il aurait des "empreintes" dans lesquelles marcher.

[La Conteuse]

Ils reviennent avec le corps de leur compagnon et un cristal bleu très friable.

C'est tout ce qu'on a. Vous allez pouvoir le ramener ?

[Mérinid]

"En tout cas, je vais esssayer."

Il commença par absorber le cristal et son pouvoir. Ensuite, il prend le corps, le pose au sol et retire les vêtements. Première étape, réparer le corps s'il est endommagé, et vérifier que l'esprit est bien présent.

[dice]0[/dice]

[La Conteuse]

Le corps était jeune et en bonne forme, il y avait un trou au niveau du coeur.

[Mérinid]

"Eh bien. C'est net et présssis."

Il posa ses mains sur le coeur et se concentra, tissant la magie pour réparer les dommages. Le coeur d'abord, régénérer les tissus organiques, puis de couche en couche jusqu'à l'épiderme.

[dice]0[/dice]

[La Conteuse]

En quelques minutes le corps était réparé. Il restait à s'occuper de l'esprit.

[Mérinid]

Comme appris auprès de son maître, il tissa un pont de magna entre l'esprit et son corps pour faciliter le transfert, tout en l'appelant à revenir dedans.

[dice]0[/dice]

[La Conteuse]

L'esprit qui avait tout suivis se glissa de bonne grâce dans son corps aidé par Mérinid.

[dice]0[/dice]/40 (incarnation)

[Mérinid]

"Voila, c'est bon. Je conssseille un peu de repos, avant de repartir en misssion. Si vous vous sssentez un peu désorienté au début, c'est normal. A chaque mort, l'esssprit perd un peu de ssses capasssités."

Il se releva et recula d'un pas.

"Qu'en est-il des étrangers morts dans l'insssendie de la cathédrale ? Les gardes devaient me les apporter pour que je "tente" mon posssible pour les aider. Dommage qu'ils ne présentent aucune particularité digne d'intérêt..."

[La Conteuse]

Les elfes firent signe qu'ils ne savaient pas. Celui qu'il venait de ramener le remercia chaleureusement.