[RP] Les villages Orcs d'Arcadia

[La Conteuse]

La félis montre l'intérieur du cercueil.

C'est parr là. Le courrrant d'airrr, il vient du cerrrcueil...

[Crocs]

Ah ben c'est pas banal comme endroit ! Aide moi voir... Elle grogne quand elle tente de pousser le couvercle.

(94/50)

[La Conteuse]

La félis aide, le couvercle ne s'ouvre que de quelques centimètres, c'est trop peu pour se glisser dedans.

Il faudrrrait qu'on puisse augmenter notrrre forrrce, comment on pourrrrait se débrrrrouiller ?

[Crocs]

S'il faut le faire glisser je sais pas. Mais si faut juste le soulever, y me faut juste un genre de bâton très solide pour faire levier. Mais vu le poids de la pierre....

[La Conteuse]

Une sorrrte de pied de biche, oui ça pourrrrrait fonctionner, bouge pas j'en ai vu un.

Quand elle revient elle porte un bâton qui est deux fois plus grand qu'elle et dont la circonférence fait deux fois au moins sa patte.

ça irrra ? Elle en fait passer un bout dans l'interstice et se pend à l'autre. Mais son poids ne semble pas suffisant.

[Crocs]

Elle trouve que ça ressemble juste a un bâton et se demande ce qu'est une biche mais se contente de rajouter sa force et son poids au levier de bois.

[La Conteuse]

Tout d'un coup avec le poids de Niazek la pierre qui couvre le cercueil bascule.
Myrtille est surprise et bondit en arrière, elle regarde l'escalier vers la sortie, mais se rassérène en voyant que personne n'arrive. Son poil est encore tout hérissé.

[Crocs]

Elle se relève, aplati doucement les poils de la tête a la félis. Lala, c'est rien. Puis elle observe le fameux passage secret plus si secret.

[La Conteuse]

Au pied du squelette se trouve une ouverture et un escalier à la fois étroit et bas, surtout pour Niazek, moins pour la félis qui penche un peu la tête pour ne pas se cogner. Il provient de là un air humide et lourd, pas très agréable.

ça sent pas la fraîcheurrrr de la forrrêt... murmure Myrtille en laissant Niazek passer devant.

[Crocs]

Les souterrains sentent toujours le pourri et le renfermé, crois moi. Elle y va à quatre pattes, c'est le plus facile dans des boyaux aussi étroits.