Elwen est un jeu de rôle dans un univers médiéval fantastique

Il se hisse également dans la nouvelle salle et en fait le tour d'un pas rapide, promenant sa main sur les pierres blanches. "Sssurprenant. Et impresssionnant."

Revenu auprès du bassin et de son apprentie. Il s'enquiert : "Sssa va ? Sss'est pas passé loin sssous l'eau. Sss'est comme sssa au début, j'étais pareil. Avec l'experienssse viendra l'asssuranssse, tu verras."

Il retourne auprès de la porte de pierre encadrée et montre les pierres veinées. "Sssa me rappelle les murs de la ville. Les veinures. Des trassses de magie ansssienne peut-être. Dès que tu es prête, on franchit la porte."

Elle a récupéré et vient voir la porte. Elle ne la touche pas.

Il n’y a pas de poignée ni de serrure.
Elle fait un geste avec la main ouverte près du battant de droite.

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Je ne sens pas de magie

Lui même procède à l'examen du battant gauche avant d'y toucher. S'il ne décèle rien, il poussera la porte. Dans le cas contraire il préviendra son apprentie de ne pas établir de contact direct.

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"Il y a une rune là aussi." Il commence alors à chercher sur la pierre des battants et les contours de la porte si les runes ne sont pas inscrites par là.

La rune est bien là, sur le battant droit de la porte gravée sur un morceau de pierre qui bouge un peu, c’est une rune classique. Mérinid la reconnaît, il suffit de la retourner pour en faire une rune d’ouverture. Un grand classique de blague de sorcier pour empêcher un non sorcier de verrouiller mécaniquement une porte. Ici il semble qu’en tournant la pierre on déverrouille la porte.
" C’est fermé de partout, mais on arrive quand même à rencontrer des bestioles." dit elle en poussant du bout de la botte une petite araignée commune.

"En effet. Sssoit elles ont réusssi à passser sssous les portes lorsqu'elles étaient minussscules, sssoit au moins une sssection de la ville est infessstée et on y trouvera un nid, ou une colonie." Il tend la main et retourne la pierre pour en inverser l'effet. Ceci fait, il pousse sur l'un des battants pour l'ouvrir. Puisqu'il est en pierre, il force beaucoup et y appuie tout son poids, aussi modeste soit-il.

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Le battant frotte sur le sol et il doit y avoir de la poussière et des morceaux de pierres car elle se coince, Shilok vient pousser elle aussi pour aider son maître à ouvrir.

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La porte bouge à peine. Les aventuriers peuvent y passer un bras.

Les pieds glissants au sol, il cale son épaule sur la porte pour forcer encore un peu. Si ils parviennent à l'ouvrir un peu plus, il sera peut-être possible pour l'un d'eux de se glisser de l'autre coté.
Dans le pire des cas, le sorcier pense pouvoir concocter un sortilège pour dégager le dessous de la porte.

Ou même la porte elle-même.

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